Le Collectif des impactés du train express régional (TER) est en colère contre l’État du Sénégal


En marge de leur conférence de presse, le Collectif des impactés du TER a dénoncé le retard des indemnités que l’Etat du sénégalais leur avait promis. Ces derniers ont également déploré le calvaire qu’ils subissent actuellement.

En effet, ils espéraient tirer profit de ce joyau de l’Etat. Mais, ils estiment qu’en vérité, ils rencontrent tous les problèmes du monde pour avoir une vie paisible. D’ailleurs, selon leurs dires, ils ont utilisé tous les moyens dans le cadre de se faire entendre et également de trouver une solution à leurs problèmes. « Depuis deux ans, nous avons déclenché une procédure de négociation avec les bailleurs principaux du projet : l’AFB, la BAD, l’État du Sénégal et le collectif national », a expliqué Ibrahima Cissé, président du Collectif national des impactés du TER.

Les victimes sont sortis massivement pour répondre à l’appel du Président dudit collectif et crier leur ras-le bol. Dans une colère noire, ils portaient des brassards rouges avec des slogans et chants. Sur les plaques, on voyait des écritures lisibles : « le Ter ne passera pas ».
Ainsi, la rencontre s’est tournée autours de sept (07) points: la non-indemnisation, les retards d’indemnisation, les omission et élagage, le recasement et l’harmonisation du barème.
Cependant, il faut noter qu’au bout du processus, quatre points d’accord ont été retenues. Il s’agit de la non-indemnisation, les retards d’indemnisation, les omissions et l’élagage ainsi le recasement. Les négociations devraient se poursuivre pour les trois points restant. Les membres du Collectif ont été surpris après avoir fourni tous les efforts du monde pour tomber d’accord sur une formule de résolution. Tous les deux partis étaient d’accord en présence des bailleurs. “Lorsque nous avions fini d’apporter nos preuves s’agissant les 2000 mille dossiers posés sur la table de l’APXI, ils nous ont fait savoir que l’APXI n’a pas de personnel nécessaire pour exploiter ces cautions. Le collectif considère cet acte comme un manque de volonté, de sérieux et de considération vis-à-vis de ses citoyens qui souffrent le martyr causé par ce projet du TER. Ils affirme qu’ils sont plongés dans l’extrême pauvreté à cause de la mauvaise application et la mauvaise exécution du projet. Pour le cas de Dakar, 7700 hectares et demi ont été dévastés de manière anarchique et inhumain, c’est a dire le déguerpissement.

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